Lorsque OnePlus a lancé le OnePlus X en 2015, il s’est écarté de sa séquence numérique pour livrer une version de milieu de gamme de son vaisseau amiral. Il semble que l’histoire va se répéter avec le OnePlus Z, en transposant les spécifications de l’année dernière à un smartphone de 2020, mais avec une légère différence.
Contrairement au OnePlus X, le OnePlus Z a fait l’objet d’une fuite pour utiliser un processeur de milieu de gamme plutôt qu’un ancien processeur haut de gamme. C’est peut-être encore le cas, mais, apparemment, il ne s’agira pas d’une puce MediaTek 5G.
Qualcomm peut se vanter le leadership sur le marché des processeurs mobiles en ce qui concerne les puces haut de gamme, mais jusqu’ici elle a toujours été en concurrence avec MediaTek sur le marché d’entrée de gamme. Depuis un certain temps, il semblait que MediaTek était oubliée, surtout pendant la phase de déploiement de la 5G. Mais, elle a récemment refait surface avec sa puce Dimensity, qui promet une connectivité 5G abordable, que ce soit sur les smartphones de milieu de gamme ou même haut de gamme.
C’est cette puce MediaTek, en particulier la Dimensity 1000L, qui a fait l’objet d’une fuite pour alimenter le OnePlus Z. Si c’était le cas, ce serait le premier smartphone de OnePlus à utiliser autre chose qu’un Snapdragon.
Cependant, ce pourrait un mixte des deux, car la puce promet des coûts réduits, mais certains pourraient douter de sa puissance de traitement réelle.
Puce Snapdragon 765 5G
– Max J. (@MaxJmb) May 1, 2020
Pour ceux qui penchent plutôt vers les puces Qualcomm, une nouvelle fuite suggère que le OnePlus Z pourrait après tout utiliser une puce Snapdragon. Pour rester fidèle à la nouvelle orientation 5G de OnePlus tout en maintenant des prix relativement bas, il utilisera la Snapdragon 765 5G. La question de savoir s’il s’agit d’une puce Snapdragon 765 ordinaire ou 765G orienté sur le jeu n’a pas encore été vérifiée.
Cette évolution pourrait être un soulagement pour ceux qui ne sont pas sûrs des dernières puces 5G de MediaTek. La société a connu une certaine controverse lorsqu’elle a pratiquement admis ce qui est communément considéré comme de la « tricherie de benchmarks ». Qualcomm, bien sûr, nie avoir joué à ce jeu, mais n’a rien fait non plus pour empêcher les constructeurs de profiter de ses processeurs pour leurs propres supercheries.