Il était temps vous allez me dire… C’est vrai mais mieux vaut tard que jamais hein 🙂 En fait, pour tout vous avouer j’ai contacté différents interlocuteurs tout de suite après la manifestation qui a eu lieu le 23 et 24 avril 2011 à Bordeaux. Et puis chacun a son travail personnel du coup compliqué pour répondre à mes questions. Alors comme dans toutes les classes on a les bons élèves, Raphael Goetter, David Louis et Aurelien Garroux, ceux qui travaillent dur Thomas Parisot et Sylvain Peigney. Enfin tu as toujours un mauvais élève, tu sais le gars qui semble toujours débordé et qui en fait glande sur Twitter… Je vous balance son nom ? Bon très bien, mais alors vous ne lui répétez pas ! C’est Matthieu Bué, mais oui tu sais le gars dont le pseudo est Twikito (bon Matthieu tu va sûrement lire ce billet ne m’en veux pas hein :)).
Bon voilà, vous avez compris que pour cet article nous allons avoir la crème de la crème concernant les retours de ce BarCamp. Non vous ne rêvez pas, ce n’est pas un endroit où il y a un bar et où on campe ! Pas du tout !
Qu’est-ce qu’un BarCamp ?
Selon Wikipédia, « un BarCamp est une rencontre d’un weekend, une non-conférence ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.
C’est le principe pas de spectateur, tous participants. L’événement met l’accent sur les toutes dernières innovations en matière d’applications Internet, de logiciels libres et de réseaux sociaux ».
Organisé par des enthousiastes pour des enthousiastes un BarCamp réunit tous ceux qui souhaitent apprendre et transmettre un savoir dans un esprit d’ouverture. Ces rencontres sont très riches et épuisantes, ne serait-ce que par l’impressionnante quantité d’information que l’on y partage.
Un BarCamp s’organise à l’aide d’un Wiki, librement modifiable par ses visiteurs. Sur le wiki sont centralisées toutes les informations nécessaires au bon déroulement de l’évènement. N’importe quel participant au BarCamp peut ajouter des infos, ou les rectifier de manière collaborative.
Sous la thématique « nouveaux standards et nouvelles pratiques », l’association Barcamp Bordeaux a proposé le weekend du 23 et 24 avril dans les salons de l’Hôtel de Ville, un BarCamp.
Les participants ont pu décider des sujets des ateliers dès le samedi matin. E-réputation, social média, e-marketing, blogs, e-commerce, les discussions sont ouvertes à toutes les thématiques concernant le web. L’évènement était ouvert à tous et pas seulement aux professionnels, c’est notamment ce qui en fait sa richesse.
Je vous propose de découvrir ici, le wiki du BarCamp de Bordeaux !
Qu’en pensent les acteurs et les participants ?
Allez, on passe au moment que vous attendez tous ! Revenons sur ce BarCamp avec des acteurs et des participants de celui-ci. J’en profite pour les remercier, et pour les suivre c’est ici : Raphael Goetter, David Louis, Aurelien Garroux, Thomas Parisot, Sylvain Peigney et Matthieu Bué.
Ces derniers ont gentiment accepté de répondre aux quatre questions suivantes :
- Pourrais-tu te présenter en quelques lignes ?
- Qu’as-tu pensé de ce BarCamp ? Quel en est ton meilleur moment ?
- As-tu présenté un atelier ? Si oui, lequel et quel succès a-t-il eu ?
- Peux-tu nous décrire les principales discutions qui ont eu lieu lors du BarCamp ?
- Quel a été l’axe principal de ce BarCamp ?
Voici leurs réponses :
Raphael Goetter :
Je suis un Webdesigner alsacien passionné de CSS et de photographie.
J’ai d’ailleurs eu la chance de publier des livres techniques dans ces deux domaines.
Je suis également créateur et administrateur du site Alsacreations.com, communauté libre d’apprentissage sur la conception web.Les bons moment furent nombreux : pouvoir discuter avec des passionnés de standards et de CSS, ou mieux, être remercié pour avoir trouvé du boulot grâce au service d’emploi d’Alsacréations n’a pas de prix.
A vrai dire, j’ai finalement présenté deux ateliers. Le premier, pour lequel je m’étais préparé, traitait d’adaptation de site pour le Web mobile. Le second, complètement imprévu et improvisé était une initiation à la photographie numérique, aux techniques et aux réglages de son appareil.
Ils ont chacun eu un succès notable puisque je n’étais pas tout seul 🙂 Cela dit, pour ce qui est des échanges lors de ces ateliers, j’ai pour impression qu’ils étaient vraiment productifs, mais ce n’est pas forcément qu’à moi d’en juger.
Il y a eu un nombre impressionnant d’ateliers et de discussions hors-ateliers. En ce qui me concerne, j’ai participé à l’atelier de Cédric Morin sur la performance web, et en partie à celles de Matthieu Bué sur le « webdesign friday » et sur l’Internet et l’éducation.
Pour info, un bon nombre de ces ateliers est décrit sur cette page du Wiki du Barcamp :
http://www.barcamp-bordeaux.com/wiki/wiki/production2Au-delà du vaste thème général du Web et des nouvelles technologies, de la bonne ambiance et des discussions très enrichissantes, le point d’orgue de cette manifestation est selon moi la production de ressources concrètes émanant des cerveaux bouillonnants du weekend. Le meilleur exemple en est la liste des 80 critères de qualité des données en OpenData, constituée sous la houlette d’Elie Sloim et que l’on peut librement consulter ici : http://www.barcamp-bordeaux.com/wiki/wiki/checklist-open-data
David Louis :
Je m’appelle David LOUIS, j’ai 37 ans, je suis principalement webdesigner et navigue entre Libourne, Bordeaux et Pomerol. A la base, je venais du culturel, et spécialement des musiques amplifiées, où j’ai exercé pendant 10 ans des tafs en tant que directeur, administrateur, chargé de développement de projet, de communication, manager, tourneur, musicien. Et depuis un an, je suis webdesigner / formateur / entrepreneur sur plusieurs projets
Ce BarCamp, honnêtement, c’était de la balle ! Je ne m’attendais pas à un truc aussi énorme ! Lesly et son équipe de bénévoles ont vraiment assuré ! Ils étaient morts dimanche soir, je sais pourquoi ! J’ai pu faire un paquet de rencontres, des personnes que je connaissais via twitter, on a pu boire un verre ensemble et parler en direct de sujets variés. Mon meilleur moment ? difficile mais je retiendrai quand même l’atelier de Raphael Goetter et sa façon de gérer le contenu pour mobile avec les CSS. En moins d’une heure, il nous a pas mal bluffé par ses compétences, sa gentillesse et sa disponibilité.
Non, je n’ai pas eu l’occasion mais j’ai pris part activement aux ateliers en participant oralement. J’aurai peut être voulu en faire un sur WordPress, mais Volpeo en organisait un sur les « Custom post type » et les « Meta box », j’allais pas quand même le louper :)) L’année prochaine, j’en ferai un et il sera préparé.
Ce qui m’a pris le plus de temps, niveau discussion, c’était : « Bonjour, on ne se connait pas, tu t’appelles comment ? et hop, c’était parti ! » Et du coup, (on a de la chance à Bordeaux, il se passe pas mal de chose), on va continuer le 5 mai lors du twittercamp.
J’ai l’impression que l’axe principal c’était la rencontre, c’était juste la deuxième fois que la manifestation était organisée, on se connaissait pas mal sur les réseaux sociaux mais pas en vrai. Et là, ce fut l’occasion de discuter, de parler de projets en commun. On avait presque envie que ça continue 2/3 jours supplémentaires 🙂
Aurelien Garroux :
Bonjour, qui suis-je ? Dans ce monde virtuel je suis dhoko (@lecolibrilibre sur Twitter). Je suis étudiant en 2ème année à l’ICAN (ESGI) à Paris et développeur web le reste du temps. Je suis donc spécialement descendu de Paris pour ce BarCamp qui était mon premier (par contre je n’ai fait que la journée du Samedi).
J’étais venu pour découvrir (je ne savais pas ce que c’était vraiment), pour rencontrer des personnes de ma TL Twitter et aussi faire dédicacer mon livre (le dernier écrit par Raphael Goetter). Mission accomplie, l’expérience BarCamp fut un succès, j’ai rencontré pas mal de personne, j’ai appris quelques trucs, découvert des exemples d’usages de certains trucs…. Bref ce BarCamp ne m’a pas du tout déçu, bien au contraire. S’il existe l’an prochain, je pense redescendre là-bas.
Le meilleur moment ? Surement quand j’ai pu tenir entre mes mains mon livre dédicacé par Raphael Goetter (Et j’ai vraiment adoré son Tee Shirt, il était SUPERBE !)Les principales discussions ? Je ne sais pas trop, je vais juste te parler de quelques-unes auxquelles j’ai assisté et qui étaient enrichissantes.
En début d’après-midi on a pu assister à une discussion sur le choix Applications Mobile Native – Applications Mobile Web – Site Mobile. C’était assez intéressant, ça a pu confirmer ce que je pensais. Actuellement il est donc clair que le Natif est bien plus avantageux, la faute à nos moteurs de rendu/JS. Avec le temps ceux-ci vont progresser encore et encore pour nous permettre d’utiliser, des applications Web mobile qui soient ultra rapides. Encore faut-il que les Framework puissent fournir toutes les options nécessaires. (Bluetooth de l’IPhone par exemple, je crois bien). Le web mobile quant à lui n’a pas vraiment les mêmes usages. Comme on nous l’a dit au début de la présentation : « ça dépend » 😉
Viens ensuite une petite discussion sur le fameux WDFR présenté par @Twikito. On était assez nombreux et pas les plus nombreux, (sauf erreur de ma part) à connaitre et suivre ce phénomène. Je pense qu’on a pu séduire quelques personnes. On a parlé de pas mal de choses dont le support du WDFR, car comme on a pu le dire twitter n’est pas le meilleur des supports… C’était sympa de voir des gens qui y participent, de voir ce que l’on peut en faire et surtout de voir que le projet va probablement évoluer. Bref un projet francophone qui gère, fédère et qui va peut-être permettre de mettre en avant les Frenchies (à l’assaut du Ze Internet !!)L’axe du BarCamp ? Le partage, la rencontre (un peu du 3ème type quand même)
L’expérience était vraiment intéressante, on rencontre plein de gens qui sont dans le même domaine. Tout le monde est accessible, on a beau tous être Geek, si vous cherchez des Geek qui sont aptes à vivre dans le monde qui les entoure, qui sont intéressantsataaaa c’est là-haut qu’il faut aller. (D’autant plus que le cadre est vraiment sympathique). Puis ça parle du Web, du côté obscur de la force comme dirait certains.
Parfois il faut s’accrocher, par exemple lors de la présentation de R. Goetter sur le Web Mobile, il n’y est pas allé par quatre chemins, si tu ne connaissais pas bien ton CSS, tu finissais dans les choux (uniquement pour la partie technique bien sûr). Même avec une connaissance solide en CSS j’ai appris un truc, le coup du–n
sur lenth-child
. Put être logique mais, je n’avais jamais vu qu’on pouvait le faire. J’ai aussi vu un exemple pertinent d’utilisation de:not
. Personnellement je n’avais pas trouvé de cas particulier où utiliser ce truc était pertinent, là Raphael nous a montré un excellent exemple.
Je suis descendu de Paris pour cet évènement je ne suis pas reparti en me disant que j’ai perdu mon temps. Au contraire j’ai rencontré des gens sympas et j’ai appris des trucs. (Puis j’ai aussi pu avoir un bref aperçu de cette ville que je ne connaissais pas).
Thomas Parisot :
Thomas Parisot, 28 années fraîchement révolues et résidant dans la Communauté urbaine de Bordeaux.
Je m’efforce d’apprendre et de partager : des valeurs fondamentales sur le Web. À ce titre j’ai publié le livre « Réussir son blog professionnel » aux éditions Eyrolles afin d’aider toute personne à constituer sa propre plate-forme d’expression en ligne.
Cet ouvrage m’a guidé vers les portes du cursus Sciences Publiques et Politiques de Sciences Po afin d’y enseigner la communication interactive.
Je m’efforce de partager dès qu’un évènement se présente, que ça soit auprès de dirigeants, du monde universitaire ou de conférences. À ce titre, je participe régulièrement à Paris Web et co-organise Sud Web qui aura lieu le 27 mai 2011 à Nîmes.
Aujourd’hui, j’exerce en indépendant une activité de consultant Web technique et fonctionnel avec ma société CyneticMonkey. C’est à dire que je suis aussi bien capable de gérer un projet Web, de la phase de conception à sa maintenance, ainsi que dans sa réalisation technique.Le BarCamp 2010 était très convivial et très constructif. J’espérais retrouver cet engouement un peu hors du temps.
On s’en est rapproché – un peu de convivialité en moins (beaucoup de monde, beaucoup de pagaille au début).
La participation à l’atelier Open Data animé par Élie Sloïm (http://temesis.com) a été le meilleur moment. Il y a eu beaucoup de discussions, d’échanges et une véritable envie de voir émerger des axes de de bonnes pratiques pour la libération de données publiques.
C’est encore plus plaisant de se dire que c’est d’ores et déjà un succès, avec plus de 80 bonnes pratiques collectées (à retravailler certes) . Tout ça permettra aux collectivités d’aborder la question avec moins d’appréhensions, et avec la possibilité de mesurer leur approche sur des critères plein de bon sens.Frustration de l’attente le matin, je ne pensais plus proposer d’atelier mais finalement, quelques personnes m’ont motivé à animer une discussion autour du freelancing. Le résumé est disponible sur le Wiki du BarCamp.
La table était complète (une quinzaine de personnes) donc il était difficile de vouloir en réunir davantage sans que ça ne soit la panique à bord. Au final, tout le monde a partagé ses questions et a apporté son expérience : on a donc tous appris quelque chose.
La réussite, ça sera une bonne mise en pratique, et j’espère une vision plus claire de la chose par celles et ceux qui songeaient à se lancer 🙂La thématique a été annoncée en filigrane (je l’ai apprise pendant la conférence de presse) : standards ouverts.
Au final, les ateliers se sont créés par affinité et domaine d’expertise : pas mal de développement Web, de la photo, de l’ergonomie, de l’Open Data, des problématiques de développement urbain avec les technologies du numérique …
Bref, c’était vaste mais avec un dénominateur commun : la création. Avec la seule contrepartie de prendre plaisir à créer, et ça, c’est beau 🙂
Sylvain Peigney :
Je suis Sylvain Peigney, je suis développeur freelance depuis maintenant un peu plus de 2 ans et demi et j’aime ça ! Mon entreprise s’appelle Volpeo, j’ai préféré séparer mon identité de celle de mon entreprise.
J’ai adoré cette 2ème édition, plus gros, plus loin, plus fort que la première édition, et la 3ème sera encore meilleure ! L’organisation était au rendez-vous, on a été chouchoutés pendant ces 2 jours (je rappelle que c’est un évènement gratuit pour les participants, donc oui on n’a pas eu de champagne, mais du bon pinard le samedi soir tout de même).
Je n’ai pas eu qu’un seul meilleur moment mais plusieurs, ils sont tous liés à la découverte. Le fait de rencontrer pour la première fois certaines personnes fait très plaisir (le fait de revoir des têtes connues aussi, je ne veux vexer personne).J’ai présenté l’atelier « Custom Post Types pour WordPress, cas pratique : Catalogue de vin », qui était un peu réservé à un public technicien, et j’ai eu la surprise de retrouver beaucoup de profils différents, pas toujours techniciens, mais très intéressés par les possibilités offertes par cet outil. J’avais prévu de recevoir uniquement les copains intéressés (5 environ) mais on s’est retrouvés une 15aine autour de la table.
Alors je n’étais pas dans toutes les discussions, mais pour ma part, on a beaucoup parlé du startup weekend qui se déroulera du 20 au 22 mai à Bordeaux auquel je participerai. J’ai malheureusement raté quelques ateliers qui s’avéraient très intéressants, comme ceux autour de la démocratie ou la réflexion sur les bonnes pratiques de l’open data.
Puisque c’est un BarCamp, il n’y a pas vraiment d’axe principal, même si 99% des ateliers tournent autour du numérique (du web même pour aller plus loin). Cependant ce BarCamp s’est déroulé sous le signe des nouveautés (nouveaux standards, nouveaux comportements, nouveaux outils, etc.).
Matthieu Bué :
Je suis Matthieu Bué, webdesigner, intégrateur expert SEO. J’ai un parcours assez atypique pour quelqu’un qui travaille dans le web puisque je suis parti d’une formation en électrotechnique, puis informatique industriel, pour arriver en formation de concepteur, intégrateur et développeur en multimédia. Cela dit, je ne regrette pas du tout ce trajet puisque le fait d’avoir commencé l’informatique par les langages de programmation bas niveau comme le Basic, puis le C, C++, et même l’Assembleur et le Cobol, me permet aujourd’hui d’appréhender facilement tous les langages que je croise dans mon travail. Je me suis tourné aujourd’hui vers l’interfaçage car cela me permet de combiner le côté artistique et le côté technique, et comme ça, je m’éclate !
Le BarCamp a été une très belle découverte ! Je me demandais, et je n’étais pas le seul, quels seraient les sujets proposés, mais j’ai été très agréablement surpris ! De plus, pouvoir rencontrer des confrères également investis dans la communauté web française, c’était d’autant plus enrichissant ! Que des bonnes têtes de vainqueurs comme on les aime, encore stigmatisées par la courte nuit imposée par l’heure de boot de ce BarCamp !
D’un avis personnel, et parmi les présentations que j’ai pu suivre, les deux points forts ont été ma rencontre avec Raphaël Goetter ainsi que son atelier « Adapter un site pour le mobile en 1 heure », et mon court atelier « WDFR : la communauté des webdesigners francophones« . Pour cette intervention, mon objectif était, d’une part, de présenter la communauté à un publique ciblé puisque pour la plupart travaillant dans le web, et également de proposer de contribuer à l’évolution du projet en discutant des besoins et des idées de chacun. Cela a été un franc succès, puisque pour cet atelier de 30 minutes seulement, nous sommes passé de 7 – 8 personnes à une vingtaine très rapidement, mais aussi dans le sens où de bonnes idées sont ressorties des discussions, comme par exemple la création d’un wiki wdfr, que nous (l’équipe de gestion du wdfr) n’avions pas évoqué jusqu’alors.Pour terminer simplement, ma première expérience de ce BarCamp a été très positive et j’y retournerai probablement l’année prochaine. Le seul regret que je pourrais émettre serait le fait que je n’ai malheureusement pas pu venir la deuxième journée.
Conclusion
Voilà les interviews sont finies ! Bon il semblerait que tout le monde ait apprécié ce deuxième BarCamp. Au troisième j’y serais sans aucun doute, j’ai envie de participer moi aussi et de donner mon point de vue, et surtout rencontrer des gens supers !
Pour retrouver tout ce qui « s’est dit », jetez un œil ici : http://www.barcamp-bordeaux.com/wiki/wiki/production2
Et vous, avez-vous participé à ce BarCamp ? Qu’en avez-vous pensé ? Êtes-vous prêt à y aller l’année prochaine ? Venez en parler dans la partie commentaire…