Après la décevante annonce concernant le Xperia Z4, Sony pourrait raviver la flamme de tous les amoureux de la marque en annonçant le Xperia P2. Il s’agirait d’un nouveau dispositif, embarquant toutes les spécifications que vous voulez voir sur un smartphone haut de gamme.
Il va être une revitalisation de la gamme Xperia P, le successeur direct du smartphone lancé en 2012 par Sony. Il va même jusqu’à avoir le même design. Cela signifie que Sony va s’éloigner de la conception OmniBalance que la firme a abandonnement utilisée pour la gamme Xperia Z depuis sa création.
En rapportant l’ancien design du Xperia P au premier plan, cela peut permettre à la firme japonaise d’avoir la place pour incruster un capteur d’empreintes digitales, tout en amincissant grandement les bords d’écran de l’appareil. Néanmoins, ce look non conventionnel pour le Xperia P2 pourrait dérouter certaines personnes.
Du lourd sous le capot
En interne, le Xperia P2 embarquera une puce octa-core Snapdragon 810 de Qualcomm, 3 Go de mémoire vive, 32 Go de stockage interne et une batterie de 4 240 mAh. La batterie est l’une des plus importantes sur le marché, et l’on peut légitimement s’attendre à ce qu’elle soit capable de fournir une autonomie de deux jours.
Il mettra en exergue un écran de 5.2 pouces offrant une résolution Full HD (1 920 x 1 080 pixels), tout en disposant de la technologie Triluminos et X-Reality de Sony. Autrement dit, il s’agirait du même écran que celui du Xperia Z4. Cela signifie que la densité de pixels sera beaucoup moins importante que celle du Galaxy S6 de Samsung, mais il devrait offrir une bien meilleure autonomie.
Cependant, le Xperia P2 pourrait avoir quelques inconvénients. La caméra sera un capteur de 12.1 mégapixels, au lieu des 21 mégapixels sur le Xperia Z4. Néanmoins, le capteur permettra d’enregistrer de la vidéo au format 4K, similaire à ce que propose le Galaxy S6. En façade, on retrouverait un capteur de 5.1 mégapixels.
Espérons que Sony prévoie un lancement mondial du Xperia P2. Néanmoins, on peut s’attendre, dans un premier temps, à un lancement au Japon, avec un déploiement à d’autres pays d’Asie, avant de finalement arriver en Europe et aux États-Unis.
