Le Razer Phone n’est pas vraiment le plus beau smartphone du marché cette année, mais certains rapportent que la beauté n’est que superficielle. Cependant, dans le cas de ce smartphone, ce qui est vrai à l’extérieur peut aussi être vrai à l’intérieur. Après avoir survécu aux multiples tests de résistance imposés par JerryRigEverything, le Razer Phone est maintenant soumis à un démontage. Et, même s’il y survit, il n’a pas été le modèle par excellence dans ce secteur.
Les démontages sont principalement effectués dans le but de reconstituer l’appareil. En d’autres termes, c’est pour voir à quel point il est facile ou non de réparer le smartphone. Bien que Razer ait facilité le démontage, dans la plupart des cas, la réparation et le remplacement de pièces sur le Razer Phone vont être une corvée.
L’écran n’est heureusement pas collé, mais il est maintenu par pas moins de dix vis. Ces dernières seront uniquement visibles lorsque vous chauffez et retirez les grilles des enceintes en plastique. La grande batterie à l’intérieur a des languettes pour faciliter le retrait, sauf que celles-ci se brisent avant même que vous puissiez réellement retirer la batterie. Heureusement, il est facile de la soulever délicatement.
Pas certains que vous le remontiez intact !
Ce sont les bonnes parties. Les mauvaises pièces comprennent des dizaines de vis d’au moins deux types. Il y a aussi des câblages plus ou moins biscornus. Et, enfin, il y a de la colle un peu partout. Par exemple, la grille d’enceinte qui recouvre le haut-parleur supérieur inclut le verre de l’objectif de la caméra, ce qui ne facilitera pas sa remise en place.
Zack note néanmoins de petites choses intéressantes, comme l’énorme caloduc du Razer Phone afin de le maintenir à faible température. Dans l’ensemble, le Razer Phone semble être un périphérique qui rappelle les premiers jours des PC de jeu personnalisés. Et, vu qu’il est vendu comme un smartphone pour les gamers, ce n’est pas illogique.