WhatsApp vous permettra bientôt de décider qui peut envoyer des messages éphémères dans les discussions de groupe, ce qui vous donnera un niveau de contrôle supplémentaire sur la confidentialité.
WhatsApp travaille sur sa fonction de messages éphémères depuis un certain temps, donnant aux utilisateurs la possibilité de configurer les messages qu’ils envoient pour qu’ils disparaissent automatiquement après une période déterminée.
L’entreprise continue de développer cette fonctionnalité, en travaillant sur de nouvelles options qui la rendront encore plus utile. Le dernier changement en date voit l’arrivée de nouvelles options d’administration qui permettent de choisir quels membres d’un chat de groupe sont en mesure de contrôler et d’utiliser la fonctionnalité.
L’option de messages éphémères est disponible dans les chats individuels et de groupe depuis un certain temps maintenant, mais seuls les administrateurs ont pu activer ou désactiver la fonction pour un groupe.
Cette situation est toutefois sur le point de changer. Dans la dernière version bêta de l’application Android, il est possible de choisir entre deux options : soit tous les membres du groupe peuvent activer ou désactiver les messages éphémères, soit seuls les administrateurs.
Davantage de contrôle
La mise à jour signifie que si vous vous rendez dans la rubrique « Modifier les infos du groupe », vous verrez que le paramètre vous permet de choisir qui peut modifier le sujet, l’icône, la description et le paramètre de « Messages éphémères » de ce groupe. Vous pouvez choisir entre « Tous les participants » et « Seulement les administrateurs », en fonction du niveau de contrôle que vous souhaitez donner aux membres du groupe.
Pour le moment, vous devez faire partie du programme bêta de WhatsApp pour découvrir cette nouvelle fonctionnalité. Les contrôles de groupe pour les messages éphémères peuvent être trouvés dans la version bêta de WhatsApp 2.21.8.7 pour Android, mais on peut supposer que les mêmes options seront disponibles sur iOS dans un proche avenir.
