Après la fermeture récente du célèbre service de partage de fichiers, Megaupload, pour violation de copyright, le FBI commence maintenant à jeter un œil sur l’un des plus célèbre service de partage de fichiers, Rapidshare.
En effet, le FBI a récemment fermé le site Megaupload plus tôt ce mois-ci, en arrêtant même Kim Dotcom et quelques autres cadres de l’entreprise. Après cet incident, quelques autres sites ont volontairement désactivé leurs services de partage de fichiers afin de ne pas s’attirer des ennuis… Rapidshare va probablement être le prochain service dans l’œil du cyclone, ou plutôt du FBI, et ce après avoir rejeté une partie des poursuites intentées par les détenteurs des droits d’auteur.
Par conséquent, Rapidshare se retrouve aujourd’hui sur la International Piracy Watch List de 2010.
Contrairement à Megaupload, Christian Schmid a concentré son attention sur le lobbying du gouvernement américain, en proposant de nombreux rapports affichant les dépenses de plus de 600 000 dollars depuis 2010 pour persuader le gouvernement que le site est un référentiel de fichiers légitimes et non une plateforme proposant des fichiers illégaux.
Ainsi, RapidShare exploite un fichier automatisé qui traque sur le système les fichiers pouvant enfreindre les droits d’auteur, ainsi que le bannissement des utilisateurs qui fréquemment abusent du téléchargement de contenu illégal.
Dans la mesure où il semble que le FBI resserre leurs restrictions, allons-nous voir la fin des services de partage de fichiers ? Est-ce le temps pour une nouvelle attaque de mécontentement des Anonymous ?
Quoiqu’il en soit, si vous êtes un utilisateur du service, vous devriez commencer à faire des sauvegardes de vos données, car il est toujours bon d’être sûr de les avoir…