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Le secteur automobile est en pleine transformation avec l’intégration de technologies avancées telles que l’automatisation, l’électrification et la connectivité.

Découvrez comment ces technologies redéfinissent la conduite, améliorent la sécurité et augmentent l’efficacité énergétique des véhicules. Nos guides et articles vous offrent un aperçu complet des innovations qui mènent la charge vers un avenir plus durable et connecté.

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Votre pare-brise pourrait être un hologramme AR en 2020 grâce à WayRay

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Les pare-brise holographiques qui recouvrent votre champ de vision de graphismes de réalité augmentée au-dessus du monde réel pourraient être plus proches que vous ne le pensiez. En effet, Porsche, Hyundai et d’autres constructeurs font appel à une startup spécialisée dans les lunettes connectées pour développer cette technologie.

WayRay travaille depuis 2012 sur les technologies nécessaires à la mise en œuvre d’une réalité augmentée holographique sur un affichage tête haute, en développant un projecteur holographique compact qui pourrait changer ce que vous voyez à travers les vitres de votre voiture.

Il suffit d’attirer l’attention de Porsche, Hyundai, Alibaba Group, JVCKENWOOD, China Merchants Capital, et d’un grand nombre d’autres fonds, qui ont collectivement injecté 80 millions de dollars dans l’entreprise suisse. Cela porte le total des collectes de fonds de WayRay à plus de 100 millions de dollars, même si la production n’a pas encore commencé à plein régime.

Alors que les affichages à tête haute sont des options de plus en plus courantes sur les voitures, ils occupent généralement une partie relativement petite du pare-brise. L’idée jusqu’ici a été de projeter des informations clés sur la conduite, comme la vitesse et la limite de vitesse actuelle, même si elle ajoute souvent des instructions de navigation. Cependant, l’objectif de WayRay est quelque chose de beaucoup plus complet.

Des informations partout sur le pare-brise

Selon la société, son système de projection holographique est non seulement plus petit que celui des concurrents, mais est capable de couvrir beaucoup plus de verre de la voiture. En effet, le large champ de vision pourrait finir par recouvrir tout le pare-brise. D’autres projecteurs pourraient également ajouter une couverture aux vitres latérales.

WayRay

Cela ouvre la porte à un large éventail de nouvelles possibilités AR. Par exemple, dans les graphiques de démonstration de Porsche, la firme montre comment une future voiture de sport équipée de WayRay pourrait fournir des informations indispensables sur la piste. Cela pourrait montrer des indicateurs clés tels que la vitesse du moteur et la vitesse actuelle, ainsi que la ligne de course parfaite autour des virages, ou même une voiture de course holographique à suivre. Mais, ce n’est pas que dans un tel but que le système pourra être utilisé.

« Les informations routières peuvent être affichées sur la route à travers le pare-brise, afin que les conducteurs puissent rester concentrés sur la route, ce qui améliorera la sécurité routière », suggère Hyundai. « Il peut fournir des itinéraires améliorés en fonction de la vitesse de la voiture, y compris des informations en temps réel sur les passages piétons, les piétons, les routes et les panneaux d’avertissement », poursuit la société.

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Selon WayRay, les nouveaux fonds serviront à créer une filiale avec une ligne de production pilote en Allemagne. Elle prévoit également d’investir dans l’extension de sa technologie à de nouveaux marchés.

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Apple embauche une ancienne ingénieure de la voiture autonome Waymo

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Cela fait un certain temps que nous entendons parler du projet de conduite autonome connu sous le nom de code « Project Titan » du côté d’Apple. Si à l’origine ce dernier incluait le développement entier d’un véhicule, le projet a été réduit il y a plusieurs années. Néanmoins, il semble que le travail sur le projet avance encore à un rythme relativement soutenu, et il se peut même qu’il ait reçu un bon coup de pouce. En effet, Apple a confirmé avoir embauché une ingénieure senior de Waymo, la division des véhicules autonomes de Google.

Cette ingénieure est Jaime Waydo, rapporte The Information, qui a travaillé chez Waymo en tant que responsable de l’ingénierie des systèmes. D’après ses anciens collègues, Waydo a joué un rôle « instrumental » dans le développement des prototypes de véhicules autonomes de Waymo, et était responsable de la sécurité lors de leurs essais routiers à Phoenix en 2016.

Alors que Apple a confirmé l’embauche, la société a refusé de donner des détails sur ce sur quoi Waydo va travailler derrière ses portes closes. Beaucoup dans l’industrie de la conduite autonome pensent que Waydo pourrait apporter son expertise sur le projet de la voiture autonome du côté d’Apple, qui a déjà été critiqué pour la mauvaise communication entre les équipes et un manque de direction. Il y a aussi de l’espoir que l’embauche pourrait permettre de développer un prototype de véhicule greffé d’une pomme croquée.

Avant Waymo, Waydo a passé plus d’une décennie au laboratoire Jet Propulsion de la NASA, travaillant en tant qu’ingénieure principale sur des projets de véhicules mobiles. Quant à Apple, le Project Titan avance doucement.

Apple s’initie de plus en plus dans le secteur

Si la société n’a jamais rendu public aucun produit lié aux voitures autonomes, elle a pris un certain nombre de mesures indiquant qu’elle a un intérêt dans la technologie. Elle a obtenu des permis pour tester des voitures autonomes en Californie et a publié des recherches sur la façon dont les voitures autonomes pourraient mieux détecter les piétons et les cyclistes. En avril dernier, Apple a déclaré avoir embauché John Giannandrea, qui était auparavant le principal responsable de l’intelligence artificielle de Google.

À l’heure actuelle, le projet aurait pris du retard et consomme la plus grande partie du temps et des efforts de la division automobile d’Apple. Espérons que l’arrivée de Waydo aide à orienter et à rediriger l’élan de l’équipe.

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Dyson annonce se lancer dans la voiture électrique, crédible ?

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Il y a quelques semaines maintenant, Dyson réunissait la presse à Paris pour annoncer son nouveau produit, le V10. Un aspirateur-balai, plus puissant et plus compact que ses prédécesseurs (que nous essaierons de tester d’ailleurs). Malgré cette nouveauté, c’est une autre information que tout le monde a retenue : Dyson se lance dans la voiture électrique !

Jake Dyson, le fils du fondateur exceptionnellement présent à Paris, annonce qu’à l’horizon 2020 les premières voitures électriques Dyson devraient être commercialisées. Un simple effet d’annonce ? Pas vraiment. Même si à premières vues il y a assez peu de technologies communes entre un aspirateur et une voiture électrique, cette annonce est loin d’être irrationnelle, c’était même une voie toute tracée pour le roi de l’aspirateur haut de gamme.

Chez Dyson, c’est l’innovation qui amène le produit et non l’inverse

Dyson est loin d’être une entreprise comme les autres. Comme le rappelle très justement Jake Dyson, dans l’entreprise « c’est l’innovation qui amène le produit et non l’inverse ». Une culture propre à la société, impulsée par son fondateur James Dyson, qui préfère être considéré comme un inventeur qu’un chef d’entreprise.

Une vision à la marge qui a certainement joué un grand rôle dans le succès de Dyson ces dernières années. En 2017, on estime que l’entreprise a réalisé plus de 3,5 milliards de livres de chiffre d’affaires. Un résultat porté par plus d’une vingtaine d’années de recherches et développement pour miniaturiser des moteurs numériques de plus en plus puissants, le tout en proposant une plus grande autonomie. Ces innovations ont tout d’abord servi les aspirateurs sans filtre de la marque, avant d’être déployées sur toute leur gamme de produits électroménagers et désormais, la voiture électrique. En prenant un peu de recul, on se dit que le savoir-faire acquis durant ces années de recherche devrait être fort utile à Dyson pour proposer leur propre vision de la voiture électrique, et ainsi concurrencer les acteurs actuels qui peinent à convaincre.

« C’est une très belle opportunité pour réunir les technologies que nous avons développées ces 25 dernières années en un seul et unique projet »

 Dyson annonce ainsi que 400 ingénieurs travaillent déjà sur le sujet et que plus de 2 milliards d’euros sont déjà investis pour mener à bien ce projet. Avec de tels chiffres, on ne pourra pas dire que Dyson ait fait les choses à moitié.

 

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